Au centre un découpage, l’évocation d’un collage, (parfois évoque un découpage-collage de Matisse), qui contraste avec la surface en mouvement. Des silhouettes humaines apparaissent en creux sur l’espace lisse. L’un poli, lustré, reflétant les ombres de son environnement et l’autre fait d’ondulations, tout en mouvement comme la houle, un bercement. La forme générale évoque la feuille, l’arbre, une forme organique qui s’évase vers l’extérieur et imagine le volume. « Présence » où s’imbrique des silhouettes, le monde humain et végétal en harmonie de vie.
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Un espace de plénitude, le geste découpé se détache de la forme générale. Le traitement de surface, des lignes dessinées en partant du pourtour pour aller vers le bord du relief : Le lissé, la partie centrale de la sculpture se dessine en un geste délicat, mélodieux. Il reflète l’ambiance extérieure, une intériorité chatoyante. Le concave s’ouvre sur une surface éclairée. En mouvement, la surface rayonnante donne vie à la sculpture et emmène vers le flux de lumière renvoyé par la surface en bronze poli. Un mouvement qui vient de l’intérieur et s’accorde avec l’ensemble.